EN FORME DE CONCLUSION…
D’après
« Mortification Chrétienne », du Cardinal MERCIER (1851-1926), ancien
archevêque de Malines (Livret édité par les Editions du Sel)
En général, sachez
refuser à la nature ce qu’elle vous demande sans besoin.
Sachez lui faire donner ce qu’elle vous refuse sans raison.
Vos progrès dans la vertu, dit l’auteur de l’Imitation de Jésus-Christ seront proportionnés à la violence que vous saurez vous faire.
Sachez lui faire donner ce qu’elle vous refuse sans raison.
Vos progrès dans la vertu, dit l’auteur de l’Imitation de Jésus-Christ seront proportionnés à la violence que vous saurez vous faire.
« Il faut
mourir, disait le saint Evêque de Genève, il faut mourir afin que Dieu vive en
nous ; car il est impossible d’arriver à l’union de l’âme avec Dieu par
une autre voie que par la mortification.
Ces paroles « il faut mourir » sont dures, mais elles seront suivies d’une grande douceur, parce qu’on ne meurt à soi-même qu’afin d’être uni à Dieu par cette mort. »
Ces paroles « il faut mourir » sont dures, mais elles seront suivies d’une grande douceur, parce qu’on ne meurt à soi-même qu’afin d’être uni à Dieu par cette mort. »
Plaise à Dieu que
l’âme soit en droit de s’appliquer ces belles paroles de saint Paul aux
Corinthiens :
« En toutes choses nous souffrons la tribulation. Nous portons toujours et partout dans notre corps la mort de Jésus afin que la vie de Jésus soit manifestée aussi dans nos corps. » (II Cor. IV, 10)
« En toutes choses nous souffrons la tribulation. Nous portons toujours et partout dans notre corps la mort de Jésus afin que la vie de Jésus soit manifestée aussi dans nos corps. » (II Cor. IV, 10)
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