UM JOVEM OPERÁRIO COM HISTÓRIA DE ARREPIAR
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domingo, 30 de agosto de 2020
UM JOVEM OPERÁRIO COM HISTÓRIA DE ARREPIAR
Meditando o Evangelho do 22º Domingo do Tempo Comum
Evangelho (Mt 16,21-27)
Jesus nos exorta: “Se
alguém quer me seguir, renuncie a si mesmo, tome a sua cruz e me siga”.
Podemos perceber com que pleno amor
Jesus sentia pelo Pai e por toda a humanidade no momento de o primeiro anúncio
de sua paixão, morte e ressurreição?
Vamos lembrar aqui de 3 coisas que
envolvem este momento, sendo estas o amor de Deus a nós, o pecado que deforma
os homens e a figura do servo sofredor que se oferece ao mesmo tempo aos homens
como oferta do Pai (cf. Jo 3, 16-17) e ao Pai como nossa oferta perfeita e
agradável. O mais puro amor dos homens que por Jesus foi oferecido ao Pai.
O Senhor nos dá a chave para
compreendê-lo: “Renuncie a si mesmo, tome a sua cruz e me siga” (Jo
16, 24). Ou seja, para compreender o Senhor é preciso se colocar como seu
seguidor e imitá-lo em tudo. Não nos coloquemos no lugar do Senhor, mas como
seguidores do Senhor, imitando-o, renunciando a nós mesmos, tomando a nossa
Cruz e seguindo os passos de Jesus.
Esta é a única forma observaremos o
olhar de amor que Jesus olha em nosso favor (pois, é Ele também quem nos salva)
e em favor de todos os homens, pecadores ou santos.
Assim, Jesus Cristo, conhecedor da
Face Divina de Deus, não se oferece aos pecados dos homens, mas se oferece como
Homem a Deus pela restauração de sua obra e ‘fazer novas todas as coisas’ (cf.
Ap 21, 5), para nos curar, nos levar de volta para si a partir de seu Sagrado
Coração.
Jesus Cristo se apresentará diante de
Deus como o homem justo, o um único justo pelo qual a humanidade fosse
justificada e salva. Eis a obra do Senhor! Eis o amor que Jesus derramou sobre
as nossas vidas, sobre a nossa história, sobre toda a humanidade.
Se compreendermos o amor de Jesus a
nós, pecadores, entenderemos a dura censura que o Senhor faz ao pensamento
mundano de Pedro, que talvez, por pura vaidade pensaria em um Senhor que
triunfasse sobre os homens e que os que estavam com o Cristo triunfariam
juntos. Não. Jesus não deseja triunfar sobre os homens, mas Jesus quer que a
humanidade alcance a sua vitória definitiva por meio Dele, de seu amor provado
na Cruz, para recobrirmos a visão e sermos curados por Aquele a quem
transpassamos.
O que nos pede Jesus hoje em relação
ao mundo que se levanta contra a Igreja e contra o Cristo? Ele não nos pede que
triunfemos sobre o mundo, mas que sejamos instrumentos que iluminam os que
jazem nas trevas, mostrarmos o amor de Deus e darmos as razões de nossa
esperança (cf. I Pd 3, 15), uma esperança repleta de eternidade (Sb 3, 4).
Não somos instrumentos de condenação,
mesmo que o mundo nos condene, somos instrumentos nas mãos do Senhor para a
salvação nossa e de nossos semelhantes, mesmo aqueles que nos perseguem.
"Se fordes zelosos do bem,
quem vos poderá fazer mal? E até sereis felizes, se padecerdes alguma coisa por
causa da justiça! Portanto, não temais as suas ameaças e não vos turbeis.
Antes, santificai em vossos corações Cristo, o Senhor. Estai sempre prontos a
responder para vossa defesa a todo aquele que vos pedir a razão de vossa
esperança, mas fazei-o com suavidade e respeito."
1 Pedro 3, 13-15
João Batista Passos,
MSM Brasil
sábado, 29 de agosto de 2020
Les professionnels de la santé impliqués dans des IMG largement favorables à l’euthanasie néonatale
Flandre : les professionnels de la santé impliqués dans des IMG largement favorables à l’euthanasie néonatale
Thématique : Fin de vie / Euthanasie et suicide assisté
Publié le : 25/08/2020
Auteur / Source : C. du Bus
9 professionnels sur 10 impliqués dans des avortements pour raison médicale en centre pour soins intensifs néonataux en Flandre estiment que pour les nouveau-nés « présentant un état de santé grave, dans certains cas, il est acceptable de mettre activement fin à leurs jours ». 88% de ces professionnels pensent que la loi devrait être modifiée de façon à permettre un tel geste.
Une première étude réalisée par le groupe de recherche End of Life Research Group rattaché à la Vrije Universiteit Brussel (VUB), avait interrogé les médecins et infirmiers en néonatologie sur leur opinion par rapport à l'euthanasie des nouveau-nés. (Voir Bulletin de l'IEB)
Dans cette deuxième étude publiée le 2 août 2020, le groupe de recherche a interpellé cette fois-ci des professionnels de la santé impliqués non pas en néonatologie, mais dans des interruptions tardives de grossesse (après 22 semaines) pour raison médicale chez la mère ou l'enfant. Ces professionnels étaient actifs dans 8 centres en Flandre exclusivement (donc ni à Bruxelles, ni en Wallonie). Outre les soins intensifs néonataux, ces centres pratiquent aussi des interruptions médicales de grossesse.
A la question de savoir si, dans le cas où le foetus est atteint d'une maladie mortelle, il fallait préférer le foeticide (dans le cadre d'une interruption médicale de grossesse) aux soins palliatifs (qui seraient procurés au nouveau-né si on le laisse naître), 58% ont répondu par l'affirmative, et 36% sont restés neutres. La proportion préférant le foeticide est encore plus élevée dans le cas où le foetus est atteint d'une maladie « grave » et non mortelle : 66% se positionnent alors en faveur du foeticide. La perspective d'une vie gravement touchée par la maladie ou le handicap paraît donc moins acceptable encore que celle d'une vie qui sera rapidement abrégée par la maladie.
Il faut souligner que ces professionnels sont tous nécessairement impliqués dans des interruptions médicales de grossesse (IMG) tardives, c'est-à-dire des foeticides sur des foetus ayant dépassé le seuil de viabilité (22 semaines). En cela, leur opinion favorable à l'euthanasie des nouveau-nés gravement malade est moins étonnante. On comprend ici que c'est la même logique qui nourrit les IMG et les euthanasies néonatales : face aux souffrances que laisse présager la maladie de l'enfant, le corps médical estime que la vie de cet enfant ne vaut pas la peine d'être poursuivie. En revanche, la première étude avait montré que parmi les professionnels actifs en néonatologie, une proportion plus faible - mais néanmoins importante - s'était montrée en faveur de l'euthanasie néonatale dans certaines circonstances (60% des néonatologues et 74% des infirmiers en néonatologie).
Notons toutefois que la quasi-totalité des professionnels interrogés estime qu'il faut parler des soins palliatifs néonataux aux parents qui attendent un enfant atteint d'une maladie mortelle ou grave.
Enfin, trois quarts des professionnels ayant répondu à l'enquête pensent que les cas d'IMG devraient être enregistrés systématiquement par la Commission de contrôle et d'évaluation de l'interruption volontaire de grossesse, ainsi que les indications pour lesquelles l'IMG a été pratiquée. Il est en effet notoire qu'une petite proportion seulement des IMG est déclarée auprès de la Commission. La plus grande partie des IMG ne sont pas déclarées et donc pas comptabilisées dans le nombre officiel d'avortements en Belgique.
sexta-feira, 28 de agosto de 2020
Nous sommes dans un temps de déchristianisation forte où la tradition chrétienne n’irrigue plus la culture contemporaine.
Le Président de la République a évoqué la Cathédrale Notre-Dame comme un trésor de la culture. Ce n’est pas faux mais c’est d’abord et avant tout l’expression de la foi chrétienne de nos ancêtres et de ces siècles qui ont façonné la France, c’est-à-dire les « racines chrétiennes » de notre pays. On a pu dire que « les cathédrales sont le miroir de la France » car s’y retrouvent la vie des hommes et leur rencontre avec le Dieu qui se fait homme. Il est certain qu’un courant laïciste, avec une idéologie agressive, veut arracher ainsi l’âme de la France (…)
Les actes contre les lieux de culte catholiques, les prêtres (Père Hamel) et les attaques physiques et morales se sont multipliés ces dernières années et sont peu réprimés par la justice. On rappelle souvent que « l’Eglise doit pardonner » ! Il y a longtemps que la France n’est plus « la fille aînée de l’Eglise » ou alors c’est une fille qui oublie ses origines. Nous sommes dans un temps de déchristianisation forte où la tradition chrétienne n’irrigue plus la culture contemporaine. Les jeunes pour la plupart sont totalement ignorants de la religion de leurs pères. Ils peuvent donc être entraînés vers des impasses mortifères (…)
Monseigneur Rey a raison d’affirmer que la société française se durcit sous l’influence du laïcisme qui dénonce tout ce qui paraît favoriser le catholicisme et sous l’influence d’un courant islamique qui veut imposer sa présence. Le laïcisme a fait interdire des affichages anti-avortement ou empêché des conférenciers de s’exprimer dans certains endroits (Sciences-Po à Paris). Ces jours-ci un député dans son discours à l’Assemblée Nationale estime qu’un évêque n’a pas le droit d’exprimer une opinion sur les projets de lois. Les signes religieux comme les croix ne peuvent pas être portés dans la fonction publique. En revanche le voile islamique s’est imposé largement, les produits hallal ont des rayons très importants dans les grandes surfaces qui, comme les médias, font de la publicité spéciale pour le Ramadan. La société est de plus en plus marquée par la présence de l’islam (…)
C’est sans aucun doute par les médias que les attaques sont les plus fortes car ces attaques se présentent comme la vérité. Pour le cas du cardinal Barbarin les médias tiennent à rappeler l’affaire Preynat pour évoquer le scandale qui a frappé le cardinal. Nous savons que les médias peuvent tuer quelqu’un et nous l’avons vu largement sur le terrain politique. Ils sont aussi la cause de beaucoup de peurs : la peur des médias paralyse beaucoup de responsables dans l’Eglise (…) ( Mgr. Ginoux , 23.7.20, in Bussola Quotidiana, trad. de Salonbeige.fr)
quinta-feira, 27 de agosto de 2020
A infâmia dos nossos tempos
A Alemanha nazista que coadunou com as políticas de extermínio de grupos de pessoas em favor de uma Alemanha saudável, forte e limpa acabaram por estarem na triste lista das pessoas que defenderam os atos mais infames da história. Claro, havia muitos alemães que não apoiavam e até criticavam as políticas racistas e segregacionistas e muitas vezes morriam por isso ou sabiam deste grave e eminente risco.
O discurso de um megalômano os convenceu na aplicação de métodos de extrema violência, totalmente desprovidos de qualquer razão e sobretudo caracterizado pela falta de capacidade de sentir afeto pelo próximo, pela sua dor, pela sua existência e por fim, causou nos alemães e seus descendentes uma trágica derrota moral, e que não será esquecido pela história.
Sempre bom relembrar esta que é uma das maiores ou a maior infâmia da história da humanidade para que aprendamos que aqueles fatos não podem ser repetidos na história da humanidade, já tão fragilizada pela sua natureza contaminada e que somente com algum esforço podemos aprender a corrigir as suas intrínsecas imperfeições e aprender amar ao próximo como a nós mesmos, sobretudo os que se encontram em maior vulnerabilidade e indefesos.
Mas, parece que não aprendemos com as tragédias da história da humanidade. Hoje assistimos atônitos um passionalismo ideológico positivista (hoje, idealista) destituído de qualquer senso racional (e extremamente frio e violento) e que nos faze sentir que já estamos mergulhados em uma época de trevas e que esta poderá se tornar maior que os sombrios e dolorosos tempos da Alemanha nazista.
Notamos que há uma perda de sensibilidade nos corações humanos, há uma rigidez que deturpa o olhar da humanidade, os seus sentidos e os seus sentimentos estão corrompidos por ideias estúpidas, e mórbidas.
Muitos homens e mulheres não possuem mais a sensibilidade suficiente para questionar estas ideologias de morte, tiveram suas capacidades para se oporem a elas anestesiadas pela massificação do pensamento e do colonialismo da cultura atual. Agora, já podemos notar que muitos destes já se revoltam contra àqueles que tendem a alertar do risco em que a humanidade atravessa.
Já há rotulações e rebaixamentos das pessoas que se negam a aceitar a imposição da cultura de morte e que preferem crer na verdade e na realidade que nos cerca. Há pessoas que aceitam e militam pela falsificação da vida por meio de ideias desconexas, sem sentido, propositalmente controversas da realidade e da sociedade humana e de seus valores mais profundos.
Pensamentos propositalmente corrosivos e contrários a realidade nos fazem pensar nas palavras de Gilbert K. Chesterton que previu que 'um dia teríamos que provar que a grama é verde'. Não somente chegou este dia, como esta loucura cheia de contradições está muito mais avançada que isso. Desdenhar da verdade, debochar da capacidade intelectual humana se tornam as ferramentas mais usadas contra homens e mulheres que negam as falsas ideologias e se firmam na verdade.
Precisamos nos vacinar contra elas, pois não podemos nos tornar meios de divulgação destas insanidades, mesmo que nos opondo a elas e acabar por ajudar a fixá-las no debate fronteiriço entre a realidade e estes ideais absurdos, gerando não somente confusões, mas também desgastes desnecessários do ponto de vista racional e moral que causam o debate contra ideais irracionais, impossíveis de serem assimilados, contrárias a sanidade mental de qualquer pessoa, inclusive os próprios propagadores destas ideias que corroem a realidade humana não acreditam de fato na desordem por eles mesmo propagadas.
O que pensarão as futuras gerações que irão receber a árdua tarefa de desfazer os inomináveis danos causados por este idealismo que persiste no seu mal e nos seus erros de forma tão obstinada e intensa quanto duramente fria e irracional. O que dirão de nós aqueles que terão que reconstruir o mundo a partir do bem e da verdade. Que sentença as futuras gerações sentenciarão os que se deixam envolver em tão densa treva travestida de modernidade e de avanço (é sempre assim, foi assim que se criou a Alemanha Nazista)?
É preciso sabiamente e oportunamente manifestar-se contra os idealismos irracionais que negam as ciências médicas, biológicas, psicológicas e que ao extremo o bom e reto uso da razão.
É preciso opor-se às loucuras de nosso tempo e testemunhar para os homens de hoje e do futuro que existem pessoas que não concordam com as infâmias deste nosso tempo, que somos a maioria e que não fomos contaminados por estas ideologias estéreis, financiadas por instituições bilionárias, por grandes meios de comunicação que vendem seus espaços e até mesmo a credibilidade para se manterem no ar, sistemas políticos, partidários e outras meta-estruturas dos poderes públicos se deixam eivar por esta espécie de brincadeira danosa com a realidade humana, que preza pelo mal e pela mentira de forma ostensiva, invertendo por completo o bem com o mal de maneira intencional.
Quem se manifesta minimamente contra este discurso mentiroso que falseia a realidade já são imediatamente rotulados e ofendidos, tratados como homens e mulheres que não “evoluíram”, de segunda classe ou sem nenhuma classe, que não são dignos de compor a nova máquina de moer verdades e trucidar crianças, adolescentes, homens e mulheres jovens ou os avôs.
Quem é contra está automaticamente proibido de opinar, que já não podem defender minimamente seu ponto de vista e que contrarie a grande estrutura de mentiras que compõem este "novo mundo", o "novo normal", os "novos tempos" idealizados como o mundo perfeito, mas que já possui milhares de cadáveres em suas fossas. Uma única verdade colocaria a montanha de mentiras deles a baixo, por isso, ostensivamente se proíbe quem pensa diferente este novo idealismo de se expressar, pois isso arruinaria os planos dos que movimentam esta doentia mentalidade do nosso tempo.
Que cadáveres são estes? São milhões de crianças abortadas no ventre de suas mães, muitas vezes mães condenadas pela pressão social das pessoas, da mídia, ou pressionadas por seus namorados, maridos ou amantes para que não percam o falso conforto de suas vidas, já um tanto apodrecidas, impõem a morte às crianças concebidas, de forma trágica e traumática, geralmente para as mães e para os filhos mortos ainda no ventre. São os cadáveres das crianças pobres que, mesmo nascidas não podem 'sobreviver' para que o novo mundo se mostre mais próspero, falsamente próspero. São os cadáveres de nossos anciãos que por não terem mais possibilidade de contribuir com o novo modelo de sociedade e que sugerem ser um percalço no falso bem comum, são eliminados, são humilhados e pressionados a desejar a própria morte.
Como explicaremos às gerações futuras que o melhor pai do ano é uma mulher, que uma doença psiquiátrica se tornou o padrão de gênero da sociedade, que homens e mulheres se comparam a minhocas para justificarem sua sexualidade deformada, que ser contra o assassinato de crianças é ser considerado uma pessoa insensível (não sem alma, não acreditam mais na alma, aprecem não ter mais uma), que homens e mulheres não devem se casar e que se promovem a estéril união homoafetiva, que cachorro tem mais valor e é mais protegido que uma criança, que crianças não nascidas não são seres humanos (pessoas próximas de nós já afirmam isso já nos condenando quando afirmamos não somente tratar de uma vida, mas também de uma pessoa com todos os seus direitos), onde uma criança concebida em um ato criminoso de estupro é a primeira a ser condenada com a pena de morte com as palmas de uma geração ensandecida, louca e completamente destituída de afetos, do mínimo afeto.
Há mais, inúmeros fatos, milhares, milhões de mentiras impostas como verdade e que são diuturnamente propagadas pelos meios de comunicação, ricamente mantidos pelas multibilionárias empresas e investidores que bancam a violenta e criminosa cultura de morte para implementar o que eles chamam de uma nova era, de um novo tempo, de um novo mundo e um novo normal.
Apesar da aparente derrota da verdade para a cultura de morte deste tal novo mundo, precisamos nos lembrar o quanto são frágeis os seus argumentos, precisam ser alimentados constantemente com montanhas de dinheiro, com horas e horas de produções fictícias e pensemos que com uma única verdade, uma verdade simples colocará todo este idealismo mundano a perder.
Mesmo que estejam avançados em seus intentos e contam vitória sobre os valores éticos e morais da nossa sociedade, eles sabem muito bem o quão frágeis são as falsas propostas de um mundo artificialmente concebido...
Mesmo com todas as forças que mostram e nos pressionam, estão permanentemente em grande desvantagem.
João Batista Passos,
MSM Brasil
Jacques Cathelineau, el santo de Anjou
Crónicas de la Vendée (2-5). Jacques Cathelineau, el santo de Anjou
Gracias a una magnífica guía, Guide Historique des Guerres de Vendée[1], pudimos recorrer parte de los itinerarios de algunos jefes de la Contra-revolución vendeana; vayan algunas crónicas de estos “Gigantes” del heroísmo para quenotelacuentenb@gmail.com
Hnas. María Mater Afflicta y Marie de la Sagesse, S.J.M.
Vida escondida
La Revolución Francesa fue una verdadera fábrica de héroes, de “gigantes” como los llamará Napoleón, pues sin la participación de estos líderes naturales, obligados a ir al frente de batalla, no hubiéramos tenido una gesta vendeana y sus personalidades hubiesen quedado totalmente desconocidas para la posteridad.
Jacques Cathelineau fue uno de estos hombres escondidos que apareció en la historia como un destello de luz fulgurante, al punto de personificar en sí mismo lo más puro y cándido del levantamiento popular. Su intervención clave y fugaz, solo durará unos pocos meses, logró encarnar el espíritu magnánimo de estos campesinos arrancados de sus pueblos para transformarse súbitamente en soldados, en héroes y en mártires.
Nacido en la pequeña aldea de Pin-en-Mauges, en la provincia de Anjou, en el seno de una familia católica, humilde y ejemplar. Jacques fue el mayor de cinco hermanos, los cuatro varones murieron[2] entre 1793 y 1794 defendiendo su Patria y su Religión. Solo, Marie Jeanne, la única mujer, sobrevivió al Terror.
De muy jovencito, Jacques se casó con Louise Godin con quien tuvo once hijos, seis fallecieron durante el primer año de vida. Cuando estalló el levantamiento tenía 34 años, trabajaba como carretero y vendedor ambulante de lanas, oficio que lo preparó de antemano para el campo de batalla pues conocía los caminos de la región mejor que la palma de su mano.
Además de buen padre de familia y sacristán de la parroquia, Cathelineau se destacaba en el pueblo por su honestidad y bonhomía naturales; asimismo su profunda piedad fue ejemplo para sus amigos que comenzaron a llamarle “el santo de Anjou”, mucho antes de su actuación pública.
En los primeros meses de la Revolución, Jacques no reaccionó, permaneciendo más bien indiferente a la situación política de su país, pero a medida que las medidas antirreligiosas comenzaron a avanzar fue tomando conciencia y posición bien clara de lado de la resistencia. Cathelineau dirigiendo una procesión clandestina en Notre-Dame de Charité
Durante el verano de 1791, estuvo a la cabeza de procesiones clandestinas en la capilla de Notre-Dame de Charité y en el santuario marial de Bellefontaine, aunque poco le duró, pues las autoridades civiles ordenaron la destrucción de ambas iglesias…
Primeras chispas
Fue sin duda la leva forzada de 300.000 hombres decretada por la Convención el 24 de febrero de 1793 que encendió la chispa del levantamiento. El 10 de marzo, algunos soldados republicanos llegaron al distrito de Saint-Florent-le-Vieil para sortear la participación en el ejército de los jóvenes allí reunidos. No se pudo terminar bien, la misma gente se rebeló contra los enviados que debieron huir sin poder reclutar a nadie. Sin duda, un primer éxito pasajero que tendrá inevitablemente consecuencias sangrientas.
Jacques, exceptuado de la injusta ley por ser padre de familia, estaba amasando tranquilamente pan para sus hijos, cuando de repente llegó corriendo su primo a relatarle entusiasmado lo sucedido en el pueblo vecino. El rostro de Cathelineau se desfiguró sin decir una palabra pues en un instante había comprendido las inminentes represalias que caerían sobre todos.
Los vendeanos piden a Cathelineau ser el jefe del levantamiento (Pintura de Jules Gabriel Hubert-Sauzeau , 1900).
Todavía meditabundo Cathelineau se dirigió a la plaza donde un grupo de hombres comentaba las malas nuevas y esperaba conocer su opinión, este sin anestesia les dijo: -“Amigos, estamos perdidos. Para vengarse los republicanos vendrán a saquear nuestras casas y a degollarnos a todos. ¡Anticipémonos, a las armas! No hay un instante que perder. ¡Por la Religión!”
Luego se dirigió a la iglesia de Pin-en-Mauges, pasó un largo rato de rodillas mientras el resto ya lo aclamaba afuera como su jefe natural. Al cabo de un momento, Cathelineau salió transformado con su Rosario al cuello y el escapulario del Sagrado Corazón cosido en su chaqueta. Había aceptado el desafío que la misma realidad le había impuesto sin imaginar el porvenir.
A las mujeres que estaban allí, les pidió encarecidamente: “Vosotras que no podéis luchar, rezad por el éxito de nuestras armas”. Antes de partir, se despidió de una manera sublime de su esposa y de sus 5 niños: “Ten confianza, Dios por quien voy a luchar, cuidará de ellos”.
Un tiro de su pistola fue la señal de partida… al grito de “Viva la Religión”, la gesta de la Vendée acababa de comenzar.
Con este signo vencerán
Cathelineau tuvo el honor no sólo de ser el primer campesino en ponerse a la cabeza de la Contra-revolución, sino también de enarbolar la divisa del Sacré-Cœur como distintivo de los 27 campesinos que lo secundaron aquel inolvidable 13 de marzo de 1793, recordándoles más de una vez: “No olvidemos que combatimos por nuestra santa religión”.
La pequeña tropa se dirigió hacia los pueblos de Jallais y Chemillé en medio de un fervor contagioso, allí se les unieron 500 más con picas, rastrillos, hoces, guadañas y algunos viejos fusiles. Al día siguiente ya eran 1200 detrás del santo de Anjou, con la sagrada insignia como protección, “Todos los vendeanos, tanto los jefes como los soldados, llevaban sobre su corazón un escapulario, donde estaban las letras iniciales de los santos nombres de Jesús y de María, rodeados de un corazón en llamas”. Un soldado republicano, Jean-Julien Savay, testimonia: “Un campanazo era la señal de reclutamiento. Los campesinos abandonaban su carreta, agarraban pan para tres o cuatro días, y se ponían en marcha, llevando emblemas religiosos, tales como el rosario, una cruz y el corazón de Jesús…”
In hoc signo vinces. Pintura de Thomas Hovenden 1880. Escapulario vendeano: Dios y el Rey.
Aunque el escapulario no fue exclusivo de los combatientes, sino también de todos aquellos que adherían a la causa: mujeres, niños, ancianos y sacerdotes. “En los primeros días de la insurrección, el escapulario fue probablemente puesto en evidencia para reconocerse como fiel a la religión prohibida y, por consecuencia, hostil a la República”.
Así cada uno ostentaba su Fe en el pecho, sin tener miedo a la muerte. Pronto los vendeanos comprendieron que el Corazón sufriente de Nuestro Señor sería el de cada uno de ellos… Al punto que el solo hecho de portar la insignia bastará para que dentro de las 24 horas sean considerados como criminales y ejecutados, sin juicio previo.
Heroísmo contagioso
A medida que avanzaba, el corazón de Cathelineau desbordaba de entusiasmo y contagiaba los espíritus, tocando lo más profundo que había en el hombre. Él mismo se desconocía, pues comenzó a desarrollar tesoros de elocuencia e inteligencia escondidos en su alma hasta el momento y que de a poco fueron inspirando autoridad y confianza en todo su entorno, ya sea a generales como a campesinos. Se podría decir que nacían soldados al grito de su voz, sin todavía saber obedecer, ni formarse, ni pelear, incluso con un jefe que sabía tanto o menos que ellos…, pero no dudaba en caer de rodillas y entonar el Vexilla Regis antes de empezar el ataque.
“Jamás vi un hombre más afable, modesto y mejor. Se tenía por él más estima aún porque siempre se ponía en el último lugar. Tenía una inteligencia extraordinaria, una elocuencia avasallante, talentos naturales para hacer la guerra y dirigir los soldados. Los campesinos lo amaban, y él tenía por ellos el más profundo respeto. Desde hacía mucho tiempo que se conocía su piedad (…); a tal punto que, en los combates, los soldados siempre que podían se acercaban a su lado lo más posible, persuadidos que no podrían ser heridos al lado de un hombre tan santo…” nos cuenta en sus Memorias Victoire de La Rochejaquelein.
Jacques Cathelineau, pintura de Anne-Louis Girodet, 1816.
El 14 de marzo de 1793 ya eran 3000 los vendeanos levantados en armas con unos cuantos cañones más como trofeos de guerra. Y con la ayuda de otro hijo de campesinos, Nicolás Stofflet, los dos “jefes improvisados” lograron una importante victoria en Cholet que se expandió por toda la región.
Pero en medio de las primeras glorias, la campaña fue interrumpida por el piadoso Cathelineau que ordenó a toda la tropa pasar Semana Santa en familia. Así, en un santiamén, el ejército realista de dispersó tan rápido como había surgido no dejando casi rastro de su intervención y todo volvió a una calma pasajera.
Los “azules”, aprovecharon esta situación impensada para organizar la resistencia, quemar algunos pueblos y fusilar unos cuantos rebeldes. Pasado el Domingo de Pascua, las campanas volvieron a repicar en toda la Vendée… y esta vez, 16.000 hombres estaban listos para pelear.
La lucha continuó pese a que los vendeanos sufrieron una derrota inesperada cerca de Fontenay-le-Comte que desmoralizó a la mayoría; y cuando los campesinos ya comenzaban a dispersarse, el jefe vendeano los arengó una vez más: “Esto no es nada, en 15 días habremos reparado este fracaso y recuperado nuestros cañones. Conozco las causas de la derrota. Tengo un plan para a seguir ¿Rechazaréis marchar conmigo?”. De inmediato sus soldados lo siguieron y obtuvieron una nueva victoria en Bagnard.
Habiendo alcanzado en pocos días a reunir un número tan considerable de gente, Cathelineau mostró una modestia plena de lealtad, al ponerse bajo las órdenes de generales más experimentados. Varias veces se lo escuchó decir: “Los nobles caballeros deben guiarnos. Son tan valientes como nosotros, y comprenden mejor que nosotros el arte de la guerra”. Sin embargo los caminos de Dios suelen ser muy distintos a los pensamientos del hombre…
Primer Generalísimo
Luego de la toma de Saumur, el 9 de junio de 1793, el levantamiento tomó tal importancia que los jefes realistas, la mayoría salidos de la nobleza, se pusieron de acuerdo en la necesidad de elegir una cabeza en el comando supremo de las fuerzas. Por unanimidad todas las miradas cayeron sobre Jacques Cathelineau, quien fue proclamado primer Generalísimo con solo 34 años, dejando constancia en actas:
“Hoy, 12 de Junio, del primer año del reinado de Luis XVII, nosotros los firmantes, comandantes de los ejércitos católicos y reales, queriendo establecer un orden estable e invariable, hemos decidido nombrar un general en jefe que todo el mundo deberá obedecer. Todos los votos han sido dados al señor Cathelineau quien ha comenzado la guerra, a quien nosotros hemos querido darle muestra de nuestra estima y reconocimiento. En consecuencia, se ha decidido que el señor Cathelineau sea reconocido general del ejército, y que todos estarán bajo sus órdenes.
Dado en Saumur. Firmas: Lescure, De Beauvolliers, Marigny, Stofflet, De Laugrenière, La Ville-Baugé, La Rochejaquelein, D´Elbée, Duhoux d’Hauterive, De Boisy, Desessarts, De Bonchamps”.
Solo hubo un hombre en el ejército que desaprobó esta elección, fue el mismo Cathelineau, quien temblando por semejante responsabilidad y vencido ante la insistencia de sus pares terminó aceptando el cargo. Su primer y último acto será ordenar el sitio de Nantes.
Demasiado expuesto…
Para ese entonces, el Generalísimo ya estaba a la cabeza de 40.000 hombres, formados en columnas al mando de otros generales como Bonchamps, d’Elbée y Lyort que seguían sus órdenes. Charette debía llegar con 10.000 insurgentes más pero lamentablemente esta última expedición fracasó y no pudo dar su apoyo clave en la toma de Nantes.
El 29 de junio de 1793 la columna liderada por Cathelineau con 12.000 hombres logró penetrar en la ciudad en medio de una sangrienta lucha cuerpo a cuerpo; mientras sus soldados le advertían: “¡General, usted se expone demasiado!”. Al llegar a la plaza de los agricultores, hoy plaza Viarme, una bala le perforó el pecho, cayendo desvanecido en el mismo lugar donde tres años más tarde fusilarán a Charette. Al ver a su jefe herido, los vendeanos se amedrentaron como ovejas sin su pastor. La noticia corrió rápidamente e hizo dispersar a su tropa que finalmente fue derrotada.
Cathelineau cae herido en Nantes y muere el 14 de julio de 1793.
Un grupo de soldados trasladó en camilla al moribundo jefe hasta Saint-Florent, donde su familia logró asistirlo en los últimos momentos hasta que luego de dos semanas de agonía entregó su alma a Dios en los brazos de una religiosa de la Santa Cruz. Era 14 de julio de 1793… como para rebautizar la data fatídica de la toma de la Bastilla, recordando el triunfo de un verdadero héroe francés.
Tumbas de Cathelineau en Pin-en-Mauges y en Saint-Florent-le-Vieil.
Cathelineau, ora pro nobis!
Hoy en día, parte de su cuerpo reposa en la iglesia de Pin-en-Mauges donde nació y parte en la capilla de Saint-Charles en Saint-Florent-le-Vieil donde murió, aunque allí no está solo… Ya que su descendencia siguió el curso heroico que él había trazado en la tierra: su hijo Jacques-Joseph, ennoblecido durante la Restauración, fue asesinado por los soldados de Luis Felipe en 1832 durante el último levantamiento vendeano que lideró la duquesa de Berry; su nieto, Henri de Cathelineau, fue oficial voluntario durante la guerra franco-prusiana de 1870.
A partir de 1896, los restos de los tres bravos Cathelineau esperan juntos la resurrección de la carne… y ¿por qué no? y la resurrección de Francia.
Después de todo la vox populi no se equivocaba al llamarlo “el santo de Anjou”; teniendo en cuenta su profunda piedad y su valentía heroica en defensa de la Fe, la causa de beatificación fue introducida a fines del siglo XIX. Lamentablemente, todo el dossier se quemó en el incendio de los archivos del Obispado de Angers durante el bombardeo de 1944, por lo cual hasta el día de hoy el proceso ha quedado paralizado. Sin embargo nada impide que podamos invocarle para que nos ayude a restaurar nuestra Religión y nuestra Patria.
Hnas. María Mater Afflicta y Marie de la Sagesse, S.J.M.
Bibliografía consultada:
Delahaye, Nicolas (2011). Le Cœur vendéen. Histoire, symbole, identité. Ed. Pays & Cholet.
Crétineau-Joly, Jacques (2018). Les 7 Géneraux Vendéens. Ed. Pays & Cholet.
Brégeon, Jean-Joël (2019). Les héros de la Vendée. Ed. du Cerf. Paris.
Notas
[1] Delahaye, Nicolas y Mênard, Jean Christophe.
[2] Jean (1756-1793) murió en la batalla de Savenay, Pierre (1767-1794) cayó en combate y murió posteriormente a causa de las heridas. Joseph (1772-1793) fue tomado prisionero en Rochefort y guillotinado en Chalonnes.
quarta-feira, 26 de agosto de 2020
terça-feira, 25 de agosto de 2020
« Le débat de société ne doit pas se limiter à la santé physique »
Mesures sanitaires : « Le débat de société ne doit pas se limiter à la santé physique »
Auteur / Source : C. du Bus (IEB) ; De Standaard (22/7/2020); HLN (15/7/2020); De Morgen (15/7/2020)
« On peut aussi mourir de solitude. (…) Une vie heureuse n'est pas qu'une question de santé physique, cela dépend aussi de relations sociales satisfaisantes et du sens donné à la vie », déclare Manu Keirse dans une opinion publiée par De Standaard le 22 juillet dernier. Ce professeur émérite de médecine à la KU Leuven constate, comme bien d'autres, les ravages opérés par les mesures de confinement à l'égard des personnes vivant en maison de repos. « Ce n'est toujours pas clair si la surmortalité en maisons de repos est due à l'infection du coronavirus ou aux mesures prises à son encontre », ajoute-t-il.
Dans le même sens, l'association Médecins sans Frontières a réalisé une enquête centrée sur la santé psychique des personnes âgées durant la crise sanitaire (Overgelaten aan hun lot ), auprès de 983 maisons de repos du Royaume. Les résultats montrent que dans 9 maisons sur 10, les plaintes ‘psychologiques' des résidents étaient plus nombreuses qu'auparavant, et témoignaient en particulier d'un état de tristesse, de dépression et d'un recul des capacités cognitives. 10% des établissements ont même remarqué une augmentation des pensées suicidaires chez leurs résidents. Selon Sanne Kaelen, psychologue pour Médecins sans Frontières, « ces plaintes ont surtout été provoquées par l'isolement, et non par la peur du virus. Les résidents ne mangeaient plus, étaient apathiques et ne s'intéressaient plus à rien. »
Le vécu de ces personnes s'est-il amélioré depuis le déconfinement ? Il y a fort à craindre que, le climat de peur et les restrictions sociales se prolongeant, la situation de ces personnes ne continue de s'aggraver face au manque de perspectives meilleures. Interrogé hier par l'Institut Européen de Bioéthique, Eric Vermeer, infirmier, psychothérapeute et membre du comité d'éthique d'un hôpital psychiatrique témoignait de l'augmentation croissante du nombre de suicides, d'hospitalisations pour décompensation psychique ou encore de demandes d'euthanasie depuis la crise sanitaire. Wim Distelmans, président de la Commission d'évaluation de l'euthanasie, confie lui aussi que certaines personnes demandent à présent l'euthanasie de peur de devoir vivre en maison de repos.
« Le débat de société ne doit pas se limiter à la santé physique », insiste le Professeur Keirse. La crise sanitaire a révélé de lourds dysfonctionnements dans la prise en charge de nos aînés ainsi que des patients psychiatriques. On peut espérer que cette crise soit l'occasion d'un rebondissement pour d'une part investir sérieusement dans les soins de santé psychique, enfant pauvre de la médecine, et d'autre part pour réagir contre l'isolement social des personnes âgées. Il s'agit, selon le professeur Keirse, de repenser l'habitat et la prise en charge de nos aînés sous forme de maisonnées à taille plus humaine, à l'exemple, mentionne-t-il, du réseau de soins Dijleland (réseau de maisonnées de huit aînés).
Voyez par ailleurs le communiqué de presse de la Fédération flamande Soins Palliatifs, qui demande que « des soins palliatifs de qualité soient garantis pour tous les patients, même en temps d'épidémie ». La Fédération a jugé nécessaire d'alerter sur le manque de soutien social, psychologique et spirituel des patients palliatifs, dans un contexte où « toute l'attention se concentre sur le traitement médico-technique » de la COVID-19. ( ieb-eib.org , 12 VIII.2020)
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